viernes, 5 de julio de 2013

Eiffel à Paris.

Eiffel à Paris, depuis un balcon de la Ville Lumière by Tony Cantero Suárez. last version

Depuis ce lieu la vue est ainsi:
La lumière bleue et le ciel couvert d’étoiles de cire. Une lune miellée qui tourne en cercle la voix lactée; à un rythme idyllique effréné tel baiser dans un concert.
La soirée noire en vis-à-vis et des amis illuminés par la déesse du pays, qui assoiffe la Seine par sa noblesse française. Le cœur sans selles, versé tel  encre sur le papier, ses veines frimes le sang d’été; la vue est certes. Un tour de rêve  décrit à capella du bout des lèvres; les mots mouillés et les yeux ouverts à la scène.
- Et les têtes en perte, par les pensées de notre lointain terroir; jamais oublié!
Mes doigts je lèche pour sentir l’air du haut de la ville, qui est muse et fée, folle des mystères en jupe longue. Qui est chaud et frais telle une plume qui décris les folies bohèmes et nocturnes. Le temps de tant est passé, mais ses souvenirs demeurent réels et nos lèvres aux fleurs de bombes, exploses en sourires apaisés sans doutes ni peines…
Assissent, sur le balcon de la terre, ou nous vivons sans regrets un exile assouvi.
La vue est belle et la vie est pleine d’une noire beauté de fines manières; tel un récit de Noir Désire qu’inspire chimères, à la tendre mélodie d’avril…
A nous… Paris.
Et au fond d’un verre, en veille éternelle sur le ciel français, sans ombre car il n’existe pas un cas pareil; Eiffel… la Tour modèle qu’illumine mes vers, comblés des  paroles rosés à l’étranger, mais ici muets. La légendaire Dame de fer, qui profite d’une telle lumière pour lire cette prose, dédicacée à l’amitié.


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