jueves, 26 de septiembre de 2013

De Lutèce à Paris.

Tony Cantero Suárez 9

J’adore sortir même sans voiture pour voir la
ville; – et parcourir Paris, Paris, Paris, Paris…
J’aime conduire du nord au sud, d’est en ouest;
de La Chapelle jusqu’à Italie la place célèbre. De
Bagnolet marcher à pieds jusqu’à Neuilly; et
traverser Lutèce entière entre ses pierres. Et à
Place de fête réciter ma prose bohème ; je suis
né ailleurs mais je me sens déjà d’ici…
Je suis heureux et je crie partout, Paris, Paris…
‒ Paris, Paris; Paris, Paris.
La ville lumière, la toujours ivre, l’éminence
grise; je kiffe Paris, ses mecs, ses filles, se plaisirs.
Le Champs, l’Etoile, Eiffel, Odéon; que j’aime tant…
Tony Cantero Suárez andando por Paris
Monter à Montmartre et prendre un verre à La
Bohème, faire de Belleville à Saint Martin en
bicyclette. Prendre le métro à la Gaité et
descendre à l’Opéra, chanter à capela à Nôtre
Dame un Ave Vie; parce que ma messe vaut
plutôt un grand merci. – Quel sacré film… !
Et entre les voix Marie et César chantent aussi:
« À toi Paris, Ave la Vie… »  
‒ Paris, Paris… ; à toi Paris…
Ni Napoléon, ni Mitterrand ne reviendront, ni
le soleil vêtu de Rois, ni encore Voltaire. Ni de
Beauvoir, ni Victor Hugo, ni Césaire. Ne
reviendront de l’au-delà ni Valery, ni à la Cigale
viendra Gainsbourg fumer un pétard; et ni De
Gaulle libérera la Capital, du joug de Sartre…
Tony Cantero Suárez en puente de Paris
Je me suffis pour conquérir le grand Paname,
sans ne rien craindre; à plume errante…
- Quel sacré rêve, je l’ai accompli…
Ici à Paris.
‒ Paris, Paris, Paris, Paris; Paris, Paris.


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